Face à l’urgence climatique, Goodvest est plus que jamais engagée dans sa mission d’épargner la planète. En 2023, les solutions d’investissement de la plateforme d’épargne en ligne n’ont pas seulement été performantes. Ses actions ont eu de l’impact. Quel est le bilan ?
Quel est l’engagement de la plateforme d’investissement responsable Goodvest ?
Depuis ses débuts, la Fintech veut changer l’épargne en faisant travailler l’argent pour l’investisseur et pour la planète. Pour cela, elle :
- Incite à investir pour l’environnement au moyen de 7 thèmes que sont la transition écologique, l’emploi et solidarité, les forêts, les solutions climatiques, l’accès à l’eau, la santé ainsi que les pays émergents.
- Exclut les secteurs les plus néfastes tels que l’armement, les énergies fossiles, le divertissement pour adultes et le tabac,
- Sélectionne rigoureusement ses supports d’investissement afin de s’aligner avec les thématiques,
- Analyse l’empreinte carbone des entreprises à financer,
- Conçoit chaque portefeuille pour avoir une trajectoire climatique en dessous de 2°C selon l’Accord de Paris sur le climat.
En 2023, la thématique « solutions climatiques » s’ajoute à la liste de Goodvest. À ce jour, celle-ci est la plus durable de ses offres. De son côté, le thème « transition écologique » intègre désormais le fonds obligataire moins volatil et moins risqué Mirova. En revanche, la plateforme d’investissement en ligne a pris la décision de retirer le thème « Innovations technologiques » pour lequel une société nouvellement ajoutée ne respecte pas son cahier des charges. Face à la crise frappant le marché immobilier, elle a également décidé de ne pas se lancer dans ce type d’investissement comme annoncé. La Fintech a aussi renforcé sa méthodologie pour proposer des solutions toujours plus exigeantes et engagées pour le climat. Désormais, elle utilise de nouveaux outils à savoir l’initiative Science Based Targets (SBTi) et le score ACT.
À quoi sert concrètement un rapport d’impact ?
Pour une entreprise à mission comme Goodvest, une évaluation d’impact revêt de multiples intérêts :
- Mesurer les effets de ses actions sur différents plans : technique, financier, économique, environnemental et social,
- Analyser leurs conséquences positives, négatives, directes, indirectes, prévues et imprévues,
- Faire une comparaison des objectifs et de leurs résultats,
- Comparer l’efficacité des projets,
- Éclairer dans les prises de décisions,
- Travailler le rapport d’impact,
- Voir les changements durables,
- Incarner les valeurs.
Quel a été l’impact de Goodvest ?
Dans son rapport d’impact publié récemment sur LinkedIn, la Fintech à mission dévoile ses accomplissements :
- 6 000 contrats répartis entre son assurance vie et son Plan Epargne Retraite ont été ouverts par des investisseurs âgés de 18 à 91 ans,
- Plus de 50 000 000€ sont sortis des investissements traditionnels et investis pour la transition écologique,
- Ses émissions de carbone sont estimées à 108 tCO2e/M€, soit une réduction de 50% par rapport à celles d’un investissement traditionnel estimées à 216 tCO2e/M€. Pour info, son empreinte carbone a été évaluée à 126 tCO2e/M€ en 2022, soit -42%.
- La trajectoire de réchauffement climatique des portefeuilles Goodvest est de 1,69°C contre 3,7°C pour l’économie mondiale.
La même étude d’impact de 2023 a permis à Goodvest de constater que la plupart de ses émissions carbones proviennent de son activité numérique. Emails internes et externes, communication sur les réseaux sociaux, contenus hébergés sur le cloud… ses modes de communication suscitent des questionnements. Pour 2024, l’objectif de la solution d’épargne engagée pour l’environnement consiste donc à réduire son empreinte carbone en tant qu’entreprise tout en continuant à promouvoir l’investissement responsable. Elle prévoit également d’intégrer des mesures d’impact sur la biodiversité à sa méthodologie et d’élargir son offre avec des infrastructures vertes ainsi que le Private Equity.
Pas de conseils, juste un partage d’informations.
Les performances passées ne garantissent pas les performances à venir. Il y a un risque de perte en capital.
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