Le lancement du cashback de Max, le 30 juin dernier, a redonné du dynamisme à la néobanque dont on parlait moins depuis le confinement. Voici un point sur ce qu’il s’est passé depuis fin juin à propos du cashback.
Un vent de nouveauté pour Max
Le cashback est une véritable avancée pour Max
Cette fonctionnalité apporte un souffle nouveau et essentiel à la néobanque gratuite. Elle va permettre trois choses fondamentales :
- La réponse à un besoin exprimé par les clients de Max,
- Le fait que Max remercie ses clients fidèles et satisfaits, autrement qu’avec le parrainage, en leur permettant de gagner de l’argent quand ils en dépensent (ce qui devrait stimuler l’ouverture de nouveaux comptes),
- Le fait que Max trouve de son côté une nouvelle source de revenus. Comme pour toutes les solutions de ce type, quand un client est remboursé, Max touche un pourcentage sur ses gains.
Il est important d’avoir à l’esprit que l’offre de la néobanque Max est gratuite (sans frais de tenue de compte, avec une CB offerte et sans frais à l’international). Ses sources de revenus se font maintenant sur quatre points :
- Le cashback,
- La conciergerie (le service conciergerie est gratuit pour l’utilisateur. Max de son côté touche une commission pour les nouveaux clients qu’il apporte au prestataire final),
- La rubrique « demander un conseil » qui permet aux clients Max de mettre en concurrence ses assurances, de trouver un crédit à un taux attractif, d’épargner de l’argent ou de mieux organiser sa vie de tous les jours. Ici aussi Max propose ces services gratuitement. Il sera récompensé pour son travail de mise en relation par la société qui recevra le nouveau client.
- Les quelques frais obligatoires : opposition, rejet d’un prélèvement, frais de saisie de compte, frais de recherche pour opération frauduleuse …, remplacement de la CB …
Et tout le monde sait que même si le service public n’a pas pour vocation d’être rentable, les entreprises oui. Et justement, les néobanques et autres Fintech peinent à trouver l’équilibre. Cette nouvelle fonctionnalité oriente donc un peu plus Max vers cet objectif.
De nouveaux supports de communication
Pour promouvoir ce service, qui attire particulièrement les personnes avides de bons plans et de réductions, Max utilise de nouveaux canaux. La firme s’installe au sein des influenceurs et pas n’importe lesquels. Ils ont notamment noué un partenariat avec la franco-brésilienne Cristina Cordula. Ex-mannequin, animatrice des Reines du Shopping sur M6, Teva et bien d’autres émissions. Cette personnalité représente à merveille la bonne conseillère qu’on aime écouter quand il s’agit d’avoir du goût ou de saisir l’occasion de faire une bonne affaire.
Cette nouvelle campagne de communication pour Max est donc l’occasion de séduire une nouvelle cible. Et de prouver aux français que la carte Max est plus qu’une solution idéale pour voyager sans frais bancaires à l’étranger.
Une organisation complexe à mettre en place
Le cashback aurait dû être lancé plus tôt mais les conditions sanitaires exceptionnelles, liées au Covid-19, ont ralenti la sortie de cette fonctionnalité.
Une fonctionnalité annoncée depuis longtemps
Les utilisateurs de Max avaient eu l’information du lancement du cashback depuis longtemps. Un peu trop peut-être ? Ils commençaient à se lasser sérieusement. Beaucoup de startup annoncent le lancement de nouveautés à venir, un peu trop tôt peut-être. Comme tout, il y a deux facettes aux effets d’annonces :
- Celle qui va stimuler la venue de nouveaux clients, qui va motiver d’autres à rester ou encore simplement ajouter un point positif à l’intégralité des services,
- L’autre face étant la déception de l’attente. Aujourd’hui, avec internet, les utilisateurs ont l’impression que TOUT se fait en un claquement de doigts. Si seulement c’était possible !! Mais la vérité est tout autre. D’autant plus que Max a décidé d’offrir à ses clients un cashback qui aille au-delà de ce que les autres acteurs proposent aujourd’hui. Rappelons qu’ils ont noué deux partenariats pour ce cashback afin de pouvoir proposer des offres à la fois en ligne et en boutiques physiques.
Cette fonctionnalité était donc attendue depuis longtemps par la communauté de Max. A son lancement, les membres de cette communauté se sont tous rués dessus. Et tout le monde sait que plus l’attente est importante, plus on s’en fait une image idéale et il arrive parfois que la réalité ne soit pas au niveau des attentes.
Un accueil positif dans l’ensemble
Fort heureusement, la solution de cashback a été bien accueillie. Rien que sur Androïd par exemple, Max a enregistré un regain de connexion de + 179% le jour de l’annonce du lancement. De nombreux nouveaux utilisateurs ont saisie l’occasion de tester cette néobanque sans frais et sans engagement. Les néobanques qui proposent du cashback sont de plus en plus recherchées.
Le constat de Max : les utilisateurs se tournent vers les offres du quotidien. Les remboursements liés à la restauration, à l’électroménager, au péage et au supermarché sont les plus demandés.
Du côté de certains fidèles utilisateurs, la déception se fait sentir. Sur notre chaîne Youtube, voici quelques commentaires :
- « Des centaines de petits commerçants pas très intéressants au lieu de se concentrer sur les grosses entreprises connues » …
- « Nike peut mettre jusqu’à 6 mois pour valider le cashback… »
Ce type de retours et commentaires sont à prendre avec des pincettes.
Max décide d’être le plus transparent possible. Il donne donc le délai maximum de remboursement possible. Cela peut effrayer mais c’est pourtant la vérité. Peu de solution de cashback informent sur le temps de validation du remboursement.
Et Max ne propose pas n’importe quelle solution de cashback. Il a noué, comme indiqué plus haut, deux collab. pour proposer cette fonctionnalité, une avec PayLead et une avec Plebicom. Ces deux sociétés permettent de proposer un panel varié de boutiques qu’elles soient en ligne ou en physique. L’idée est donc de proposer un catalogue varié de propositions qui ne repose pas uniquement sur les grosses enseignes, que l’on retrouve déjà partout.
Qui est Plebicom ?
Plebicom est aujourd’hui le leader français du cashback avec 13 ans d’ancienneté dans ce secteur. Donc si Nike met jusqu’à 6 mois à rembourser les clients de Max (en sachant bien qu’il s’agit du délai maximum et que cela peut se faire en 20 jours dans certains cas) c’est que c’est le cas pour tous les acteurs qui utilisent la solution Plebicom et ils sont très nombreux.
L’entreprise propose actuellement 6 sites dont elle est propriétaires et 9 en marque blanche comme Max, certainement. Avec plus de 1700 offres de remboursement proposées, cette solution a un taux de satisfaction de 96%.
Des offres de remboursement qui s’ajoutent au fil du temps
Plebicom ajoute des offres au fil des jours
Les offres de remboursements augmentent au fil des jours. Il est faux de dire que seuls les petits commerçants sont présents dans les offres disponibles sur l’application Max, puisqu’on y retrouve par exemple : Marionnaud, Printemps, Shein, LePape, Lego, Cyrillus, Jacadi, Castorama, Leclerc, Casino, Franprix, Burger King, … L’offre est très variée.
Les utilisateurs peuvent aussi proposer l’ajout d’une offre
Max propose à ses utilisateurs de participer à l’ajout de nouvelles offres. Cette offre limitée est accessible sous conditions, voir l’intégralité des modalités sur le site de Max. Il est possible de proposer des entreprise de toute taille.
C’est une preuve d’écoute et d’ouverture de la part de la néobanque. D’autant plus qu’elle s’engage à reverser 50% de ce qu’elle gagnera à la personne qui aura permis l’ajout de cette offre de remboursement dans le catalogue.
On se trouve ici dans une stratégie de co-construction. Les startup font de plus en plus appel à leurs clients pour connaître leurs envies, des suggestions d’évolutions… Ceci prouve la volonté de Max de correspondre aux attentes de ses clients.
Rome ne s’est pas faite en un jour et il faut laisser un peu de temps à cette solution de cashback pour qu’elle prenne forme.